Ce soir-là, j’ai décidé de convoquer ma soumise dans l’une de ces «cérémonies de femmes» auxquelles je participe depuis si longtemps. Raffinement du décor, des mets, érotisme sophistiqué au rendez-vous. Je considérais qu’elle était à présent en capacité de se racheter. Je l’avais écarté depuis quelques temps, à cause de ses caprices.
Je l’introduis dans l’appartement. Je l’invite à admirer le cadre pendant que je passe mes mains sous sa robe scintillante, moulant ses formes appétissantes, puis, je lui demande de patienter.
«
un moment à part, un tableau vivant, un lieu superbe, une musique magnifique...
j'entendais vos voix du salon, j'avais peur, peur de vous déplaire, peur de ne pas me plier à vos exigences....c'était très excitant et très angoissant...»
Mes amies la découvrent avec ravissement. Elles lui imposent des postures, elles l’examinent et je sens leur excitation. Nous introduisons l’homme que nous avions marqué lors de notre
précédente cérémonie. A plusieurs endroits de son buste, sa peau porte les initiales de sa « souveraine ». Nous commentons notre œuvre et nous partageons la satisfaction de la maîtresse de cérémonies heureuse de la docilité parfaite de son esclave.
"...
effrayée par les marques sur le corps du valet , effrayée de son obéissance, aucune compassion, que du dégoût et puis moi, moi nue au milieu d'un salon glissant entre vos mains sur le sofa, je voulais devenir toute légère, et il me semblait glisser sur une vague…"
Le moment arrive où elle est fouettée par le valet sous nos ordres. Elle reçoit quelques coups, elle sursaute, Ce n’est que le début de la séance. Je l’enlace, j’aime lécher sa peau, fouiller son sexe, l’embrasser dans le cou, la posséder alors qu’elle se tord sous la douleur. J’incite l’homme à la fustiger de plus en plus fort. Il me faut ses gémissements, ses cris.
«
Vous disposiez de moi et pourtant à aucun moment je ne me suis considérée comme une soumise, comme une esclave....L'esclave c'est l'autre, celui qui dit pitié, et la minute d'après je m'entends le dire et je m'en délecte... »
Lorsque l’assistante apporte le sceau, le lui montre, elle ne bronche pas. Je m’étonne et me réjouis. Je me demande ce qu’elle pense à ce moment-là. Serait-elle prête à être marquée ?
« …
même sentiment quand vous avez approché le fer de mes seins, j'ai tremblé un moment et c'était délicieux ; quand JDB a susurré des phrases terribles à mon oreille sur la manière qu'elle aurait à m'utiliser pour ses plaisirs...une grande peur et un vrai trouble ...cette ambivalence m'a traversée toute la soirée... »
Cette fois-ci la marque sera éphémère. Le sceau imprègne les initiales sur la peau de ma soumise. Une trace fugace de rouge à lèvres ne dure que le temps d’une soirée. De loin j’observe cette femme que j’aime livrée aux mains , aux lèvres de mes amies. Je la trouve belle, séduisante, sa froideur est trompeuse, sa passivité, un leurre.
«
On me laisse jouer un peu avec les seins de l'Inconnue : très belle taille, jolie femme assurément...je ne sais pas ce que j'ai le droit de faire, mais j'ai envie de la mordre, de la martyriser. Ses têtons sont longs, je me demande s'il faut être douce ou dure avec eux...Au fond ça finit par être la même chose…
tu m'enlaces sur le fauteuil, j'ai les fesses en feu, je gémis et c'est bon d'être dans tes bras après avoir été éprouvée de la sorte».(Photos de ma soumise par Ysé)
Jolies marques ! Quelles signatures, quelles Femmes !
RépondreSupprimerS*****
Cuisante correction! Quel outil s'est abattu sur votre soumise?
RépondreSupprimerBon début, mais il faut s'occuper des mamelles de la meme façon
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