vendredi 9 janvier 2009
Trois hommes pour le plaisir des dames
La dernière soirée organisée dans l’appartement de l’une d’entre nous fut particulièrement excitante. Nous avions à notre service, trois spécimens masculins d’âges, de physiques et de tendances différents. Le premier, un tout jeune garçon à la peau d’ébène d’une douceur de soie, était très douillet et débutant. Il nous raconta, à genoux, l’un de ses rêves récurrents où il se voit capturé en pleine brousse par de belles amazones. Le novice nous avoua que les femmes dominatrices qu’il avait rencontrées jusque là ne s’intéressaient qu’à son sexe oubliant la raison de sa présence auprès d’elles. Le fait est que, à la découverte de son anatomie imposante, notre connivence avec ces femmes inconnues s’exprima sans retenue.
Le deuxième sujet, passa le plus clair de son temps à la cuisine. Soubrette expérimentée, à l’heure de se mettre à table, il s’avéra qu’il nous avait déjà servi. Celle qui l’avait reconnu lui fit subir un interrogatoire sérieux. Nos hochements de tête au moment de s’attaquer aux desserts, macarons, meringues et nougats, signifiaient que ces soumis décidément ne possèdent aucune originalité ! Ils essayent toutes les maîtresses, ils tentent de convertir leur amie en domina puis, lorsqu’ils la quittent, il reviennent dans le circuit.
Ce schéma très commun correspondait à notre troisième candidat avec quelques variantes. Celui-ci pouvait se prévaloir de tout avouer à sa compagne sauf une relation sexuelle avec l’une de ses maîtresses. Il nous intéressa néanmoins beaucoup. Il était réellement masochiste et nous lui fîmes subir de nombreux traitements. Il resta attaché et cagoulé dans le salon pendant que nous dînions, il avait résisté à la cire de bougie sur les parties sensibles de son corps, son torse fut piqué, marqué, et il fut sévèrement fouetté par des lanières multiples et des poignets divers. Sa transe visible nous émut.
Tous les trois furent récompensés. Ils furent invités à satisfaire celles d’entre nous qui le désiraient, à quatre pattes, la tête entre les cuisses de ces dames. En général, et même si nous avons chacune nos préférences et notre style, nous notons de la même façon les sujets appelés à nos pieds !
(Photos : les macarons au citron de chez Ladurée of course et les nougats libanais dont nous raffolons)
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J'ai bien connu "la girafe", soubrette, ce soir-là. Je l'avais rencontré la première fois chez notre irremplaçable Claudia. Ensuite, je l'utilisais dans une cérémonie intitulée : Blandine et les lions fantasmée à partir du film Roselyne et les lions.
RépondreSupprimerAprès la soirée, de retour chez moi, je me suis replongée dans les photos que Claude Alexandre avait prises lors de cette cérémonie. J'ai envoyé à mes complices un cliché de l'une de ces photos... A bientôt pour d'autres scénarii!
Y.